Le mot "fake news", emprunte a l'anglais, signifie "fausses nouvelles". Ces fausses informations sont souvent très bien présentées: titres choquants, images modifiées, témoignages inventes... Elles circulent rapidement sur Internet parce qu'elles sont spectaculaires, drôles ou inquiétantes. Malheureusement, beaucoup de gens les partagent sans vérifier si elles sont vraies.
Les fake news peuvent concerner des sujets très variés: la politique; le sante, les célébrités, les catastrophes, ou même des faits totalement imaginaires. Par exemple, pendant la pandémie de Covid-19, certaines rumeurs affirmaient que les vaccins contenaient une puce électronique, ou que boire de l'eau chaude permettait de tuer le virus. Ces informations étaient fausses, mais elles ont été partagées des milliers de fois.
Pourquoi crée-t-on de fausses informations? Les raisons sont nombreuses. Parfois, c'est pour gagner de l'argent grâce aux clics sur les sites. D'autres fois, c'est pour faire peur ou influencer l'opinion publique, par exemple pendant des élections. Il existe aussi des campagnes de désinformation organisées par des groupes politiques ou des gouvernements.
Alors, comment se protéger contre les fake news? Il est essentiel d'avoir une attitude critique face à ce qu'on lit ou entend. Il faut apprendre à vérifier les sources, à croiser les informations et à se poser des questions simples:
↝ Qui parle? Pourquoi? Est-ce une source fiable?
↝ Est-ce que d'autres medias sérieux disent la même chose?
↝ Est-ce un site connu ou un blog inconnu?
↝ Qui parle? Pourquoi? Est-ce une source fiable?
↝ Est-ce que d'autres medias sérieux disent la même chose?
↝ Est-ce un site connu ou un blog inconnu?
Heureusement, il existe des outils pour nous aider, comme des sites de vérification des faits (appelés «fact-checking») et des journalistes spécialisés. En apprenant à reconnaître fake news, nous devenons des lecteurs plus responsables... et nous contribuons à protéger la société contre la manipulation.
— «Le vaccin contient une puce électronique». — Aucune preuve scientifique, rumeur infondée.
— «Les virus du Covid-19 a été créé dans un laboratoire». — Hypothèse non prouvée, souvent utilisé pour accuser.
/Сьогодні, завдяки інтернету, соціальним мережам, блогам та онлайн-відео, ми щодня отримуємо величезну кількість інформації. Але чи вся ця інформація достовірна? Відповідь – ні. Багато з них правдиві, але деякі не є помилками: вони навмисно поширюються, щоб обдурити, маніпулювати або спровокувати реакцію. Це називається дезінформацією.
Слово «фейкові новини», запозичене з англійської мови, означає «хибні новини». Ці неправдиві повідомлення часто дуже добре представлені: шокуючі заголовки, змінені зображення, сфабриковані свідчення... Вони швидко поширюються в Інтернеті, оскільки є видовищними, кумедними або тривожними. На жаль, багато людей діляться ними, не перевіряючи, чи це правда.
Фейкові новини можуть стосуватися широкого кола тем: політики; здоров'я, знаменитості, катастрофи чи навіть повністю вигадані події. Наприклад, під час пандемії Covid-19 ходили чутки, що вакцини містять мікрочіп, або що вживання гарячої води може вбити вірус. Ця інформація була неправдивою, але її поширювали тисячі разів.
Чому створюються фейкові новини? Є багато причин. Іноді це для заробітку на кліках на сайтах. Іншим разом це робиться для того, щоб залякати громадську думку або вплинути на неї, наприклад, під час виборів. Також існують дезінформаційні кампанії, організовані політичними групами чи урядами.
Отже, як ви можете захистити себе від фейкових новин? Важливо мати критичне ставлення до того, що ми читаємо чи чуємо. Ви повинні навчитися перевіряти джерела, порівнювати інформацію та ставити собі прості запитання:
↝ Хто говорить? Для чого? Це надійне джерело?
↝ Чи інші серйозні ЗМІ говорять те саме?
↝ Це відомий сайт чи невідомий блог?
На щастя, є інструменти, які можуть нам допомогти, такі як сайти для перевірки фактів та спеціалізовані журналісти. Навчившись розпізнавати фейкові новини, ми стаємо більш відповідальними читачами... і допомагаємо захистити суспільство від маніпуляцій.
— «Вакцина містить мікрочіп». — Жодних наукових доказів, безпідставні чутки.
— «Вірус Covid-19 був створений у лабораторії». — Недоведена гіпотеза, часто використовується для звинувачення.
2. Les 4 raisons qui rendent les fake news si captivantes
Les fake news n’ont rien de nouveau. Propagande, mésinformation, désinformation : qu’elles soient délibérées ou accidentelles, elles font partie de l’information depuis toujours.
Prenons un exemple particulièrement réussi (ou particulièrement catastrophique !) : au début du XXe siècle, c'est le journalisme jaune — un surnom donné en 1985 au sensationnalisme donnant priorité aux profits commerciaux plutôt qu'aux reportages véridiques — qui fut à la source du conflit entre les États-Unis et l’ Espagne.
Bien que les informations mensongères et le journalisme de bas étage aient toujours existé, leur influence s’est vue décupler avec l'avènement des réseaux sociaux. Une étude réalisée par le Pew Research Center révélait même récemment que les fake news étaient considérées par une grande partie des Américains comme un problème plus important que le racisme, l’ immigration clandestine ou le terrorisme.
Qu’est-ce qui fait des fake news une problématique majeure ? Puisqu’une grande partie de la population s'accorde à dire qu’elles constituent un vrai problème, pourquoi les lire, les partager, voire les promouvoir ? La première raison, c’est que les fake news ne se contentent pas d'afficher un contenu trompeur ; elles se servent aussi de nos opinions et de nos idées préconçues.
Raison no. 1 : le phénomène de propagation
Les véhicules de propagation des fake news les plus courants sont les réseaux sociaux. Ce mode de transmission d’une personne à l’autre est non seulement incroyablement rapide, il repose en outre sur la confiance.
Dans la majorité des cas, nos amis sur les réseaux sociaux sont des gens en qui nous avons confiance et nous sommes donc portés à donner crédit aux informations qu’ils partagent. Autrement dit, les fake news se servent de la confiance que nous accordons à nos familles et amis pour nous inciter à les croire.
Lors d’une étude réalisée au Royaume-Uni, un participant sur six a admis prendre pour argent comptant tout ce que ses amis partageaient sur les réseaux sociaux. Cette même étude a également démontré que les informations lues sur Facebook étaient considérées comme plus fiables que celles publiées par de véritables spécialistes.
En résumé, les fake news se servent de la confiance que nous vouons à nos proches pour éliminer nos doutes et se soustraire ainsi à un examen trop approfondi.
Raison no. 2 : le renforcement des idées préconçues (biais d’opinion)
Les fake news tirent parti des réseaux sociaux d’une deuxième façon : sur internet, nous communiquons majoritairement avec des gens qui pensent comme nous. Ajoutez des algorithmes programmés pour vous proposer du contenu en accord avec vos opinions, et vous obtenez ce qu’on appelle une bulle de filtrage.
Ce phénomène fait partie du mécanisme de confirmation des préjugés qui nous pousse à explorer et à croire toute information susceptible de renforcer nos propres opinions. Les gens n’ aiment pas avoir tort : les réseaux sociaux s’efforcent donc de minimiser les situations susceptibles de les confronter à des idées contraires aux leurs.
En pratique, cela signifie que les fake news que l’on rencontre sur les réseaux sociaux ont tendance à renforcer nos partis pris et, de fait, ne font pas l’objet d’un examen aussi approfondi que les informations qui nous dérangent. Elles sont donc facilement acceptées et même partagées, multipliant ainsi le phénomène de propagation.
Raison no. 3 : Le renforcement des hypothèses tangibles (biais de publication)
Les fake news ne se contentent pas de renforcer nos préjugés, elles utilisent un deuxième type de préconception : le biais de publication, défini comme un favoritisme envers les résultats confirmant une hypothèse existante.
En effet, on a constaté que les recherches académiques dont les résultats ne sont pas significatifs et ne prouvent donc pas la véracité d’une hypothèse sont rarement publiées, même si on sait que des résultats nuls ou réfutant une hypothèse peuvent avoir tout autant d’importance que ceux qui la confirment.
Les auteurs de fake news n’hésitent d'ailleurs pas à offrir des preuves de ce qu’ils avancent, même s’il leur faut pour cela les fabriquer de toute pièce. C'est notre prédisposition à nous intéresser et à nous investir dans des résultats démontrables qui les rend si convaincantes.
Raison no. 4 : Sensationnalisme et simplicité
La majorité des actualités n’a malheureusement rien de captivant. Malgré leur considérable impact sur le quotidien, les réunions de votre conseil municipal ou les débats concernant les politiques fiscales semblent généralement dénués d’intérêt.
Les fake news, elles, visent le sensationnel. Elles racontent une histoire généralement spectaculaire. Les fake news rapportent des scénarios simples, extrêmes et grandioses. L’une des techniques employées par les auteurs de fake news consiste d’ailleurs à rendre sensationnel un évènement relativement ordinaire à grand renfort de vocabulaire superlatif, d’exagérations et d’informations mensongères.
Les sujets favorisés par les fake news sont ceux qui choquent et engendrent des émotions nous poussant à les partager sans examiner les faits de trop près.
Les fake news ne stimulent pas la réflexion, et l’avantage d’un récit simple mais sensationnel est qu’il ne demande pas un raisonnement très approfondi.
Conclusion
Ce n'est finalement pas une formule magique qui permet aux fake news de circuler aussi rapidement. Elles utilisent simplement les préconceptions que nous avons tous. Le lapse de temps accordé à un lecteur pour décider de croire ou non ce qu’il lit est aujourd’hui tellement court qu’il devient très facile de propager un mensonge captivant.
La seule défense qui nous reste contre les fake news est la plus grande vigilance. Prendre le temps de vérifier la source d’une info avant de la partager et apprendre à reconnaître les faits non vérifiables sont des comportements essentiels. En outre, l’outil Newsguard peut vous aider à identifier la légitimité d’une source sans avoir à jouer aux devinettes.
Malheureusement, la vérité ne peut pas s'appuyer sur les préjugés pour fasciner son lectorat. Les faits ne tiennent pas compte des opinions, et c’est bien pour cette raison qu’on refuse souvent de les entendre.
« Le mensonge vole ; la vérité le suit en boitant… », disait en 1710 Jonathan Swift. C'est encore plus vrai dans le monde connecté.
/Чотири причини, чому фейкові новини такі захопливі
Фейкові новини не є чимось новим. Пропаганда, дезінформація, неправдива інформація: навмисні чи випадкові, вони завжди були частиною новин.
Візьмемо особливо успішний (чи особливо катастрофічний!) приклад: на початку 20-го століття саме жовта журналістика – прізвисько, дане в 1985 р. сенсаційності, яка надавала пріоритет комерційним прибуткам над правдивою інформацією – стала джерелом конфлікту між Сполученими Штатами та Іспанією.
Хоча оманлива інформація та низькоякісна журналістика завжди існували, їхній вплив зріс удесятеро з появою соціальних мереж. Дослідження, проведене нещодавно Дослідницьким центром П'ю, показало, що значна частина американців вважає фейкові новини більшою проблемою, ніж расизм, нелегальну імміграцію чи тероризм.
Що робить фейкові новини серйозною проблемою? Оскільки значна частина населення погоджується, що вони становлять реальну проблему, навіщо їх читати, поширювати чи навіть просувати? Перша причина полягає в тому, що фейкові новини не просто демонструють оманливий контент; Вони також використовують наші думки та упередження.
Причина № 1: явище поширення
Найпоширенішими засобами поширення фейкових новин є соціальні мережі. Цей спосіб передачі від однієї людини до іншої не тільки неймовірно швидкий, але й залежить від довіри.
У більшості випадків наші друзі в соціальних мережах – це люди, яким ми довіряємо, і тому ми схильні довіряти інформації, якою вони діляться. Іншими словами, фейкові новини використовують довіру, яку ми маємо до наших родин і друзів, щоб обманом змусити нас повірити їм.
У дослідженні, проведеному у Великій Британії, кожен шостий учасник зізнався, що сприймає за чисту монету все, чим його друзі діляться в соціальних мережах. Це ж дослідження також показало, що інформація, прочитана у Facebook, вважалася більш достовірною, ніж та, що публікували справжні фахівці.
Коротше кажучи, фейкові новини використовують довіру, яку ми маємо до наших близьких, щоб позбутися сумнівів і таким чином уникнути надмірної перевірки.
Причина № 2: Підкріплення упереджених ідей (упередженість думки)
Фейкові новини використовують соціальні мережі й іншим чином: в інтернеті ми спілкуємося здебільшого з людьми, які думають так само, як ми. Додайте алгоритми, запрограмовані на показ контенту, який відповідає вашим думкам, і ви отримаєте те, що називається фільтруючою бульбашкою.
Це явище є частиною механізму підтвердження упередженості, який спонукає нас досліджувати та вірити будь-якій інформації, яка може підтвердити наші власні думки. Люди не люблять помилятися, тому соціальні мережі намагаються мінімізувати ситуації, коли вони можуть зіткнутися з ідеями, що суперечать їхнім власним.
На практиці це означає, що фейкові новини, з якими ми стикаємося в соціальних мережах, як правило, підсилюють наші упередження і, як наслідок, не перевіряються так ретельно, як інформація, яка нас турбує. Тому їх легко приймають і навіть поширюють, тим самим помножуючи явище поширення.
Причина № 3: Підсилення відчутних гіпотез (упередженість публікацій)
Фейкові новини не лише підкріплюють наші упередження, але й використовують другий тип упередження: упередженість публікацій, яка визначається як упередженість до результатів, що підтверджують існуючу гіпотезу.
Дійсно, було помічено, що академічні дослідження, результати яких не є значущими і тому не доводять правдивість гіпотези, рідко публікуються, хоча ми знаємо, що нульові результати або результати, що спростовують гіпотезу, можуть бути такими ж важливими, як і ті, що її підтверджують.
Автори фейкових новин не вагаються надавати докази того, що вони говорять, навіть якщо їм доводиться вигадувати їх з нуля. Саме наша схильність бути зацікавленими та інвестованими в видимі результати робить їх такими переконливими.
Причина № 4: Сенсаційність та простота
На жаль, більшість новин не дуже переконливі. Незважаючи на їхній значний вплив на повсякденне життя, засідання вашої міської ради чи дебати щодо податкової політики загалом здаються позбавленими інтересу.
Фейкові новини, з іншого боку, прагнуть сенсаційності. Вони розповідають загалом вражаючу історію. Фейкові новини повідомляють про прості, екстремальні та грандіозні сценарії. Один із прийомів, що використовуються авторами фейкових новин, полягає в сенсаційному перетворенні відносно звичайної події за допомогою надзвичайно високої лексики, перебільшень та неправдивої інформації.
Теми, яким віддають перевагу фейкові новини, шокують і викликають емоції, що спонукають нас ділитися ними, не вивчаючи надто ретельно факти.
Фейкові новини не стимулюють роздуми, а перевага простої, але сенсаційної історії полягає в тому, що вона не вимагає дуже глибоких міркувань.
Висновок
Зрештою, це не чарівна формула, яка дозволяє фейковим новинам так швидко поширюватися. Вони просто використовують упередження, які є у всіх нас. Час, який читач має на те, щоб вирішити, вірити прочитаному чи ні, тепер настільки короткий, що поширювати захопливу брехню стає дуже легко.
Єдиний захист, який у нас залишився від фейкових новин, — це найбільша пильність. Приділяти час перевірці джерела інформації перед тим, як поділитися нею, та навчитися розпізнавати неперевірені факти – це важливі моделі поведінки. Крім того, інструмент Newsguard може допомогти вам визначити легітимність джерела без необхідності грати в здогадки.
На жаль, правда не може покладатися на упередження, щоб зачарувати свою читацьку аудиторію. Факти не враховують думок, і саме тому ми часто відмовляємося їх слухати.
«Брехня краде; правда ходить за тим, хто кульгає...», – сказав Джонатан Свіфт у 1710 р. Це ще більш актуально у світі зв’язку.
3. — «Manger de l'ail protège du coronavirus». — L'ail est bon pour la santé mais ne protégé pas du virus.
— «Les écologistes ont provoque les incendies en Australie». — Accusation fausse, les causes principales étaient naturelles.
— «Des extraterrestres ont été vus à Paris». — Photo truquée, info satirique prise au sérieux.
/— «Вживання часнику захищає від коронавірусу». — Часник корисний для здоров’я, але не захищає від вірусу.
— «Екологи спричинили пожежі в Австралії». — Хибне звинувачення, основні причини були природними.
— «У Парижі бачили інопланетян». — Підроблене фото, сатиричну інформацію сприймають серйозно.
a) Qu'est-ce que la désinformation?
b) Pourquoi certaines personnes partagent-elles des fake news?
c) Quels sujets peuvent être concernés par les fake news?
b) Pourquoi certaines personnes partagent-elles des fake news?
c) Quels sujets peuvent être concernés par les fake news?
d) Comment peut-on vérifier une information?
/
а) Що таке дезінформація?
б) Чому деякі люди поширюють фейкові новини?
c) Які теми можуть бути вражені фейковими новинами?
г) Як можна перевірити інформацію?
— On peut toujours croire ce qu'on voit sur une photo (V / F)
— Les fake news sont parfois partagées sans mauvaises intentions. (V / F)
— Manger de l'ail protège contre les virus comme le Covid-19. (V / F)
— Il est possible de vérifier les informations sur Internet. (V / F)
— Il est possible de vérifier les informations sur Internet. (V / F)
— Les extraterrestres ont vraiment visité Paris en 2020 (V / F)
/
/
— Ви завжди можете вірити тому, що бачите на картинці (Б)
— Фейкові новини іноді поширюються без жодних поганих намірів. (П / Б)
— Вживання часнику захищає від вірусів, таких як Covid-19. (Б)
— Перевірити інформацію можна в інтернеті. (П / Б)
— Інопланетяни справді відвідали Париж у 2020 р. (Б)
Par groupes de 3 ou 4, imaginez une situation où une fake news circule dans votre ville.
Une élève joue un journaliste, un autre une personne qui croit à la rumeur, et une troisième est un expert qui donne les faits.
Une élève joue un journaliste, un autre une personne qui croit à la rumeur, et une troisième est un expert qui donne les faits.
/У групах по 3 або 4 особи уявіть ситуацію, коли у вашому місті поширюються фейкові новини.
Один студент грає журналіста, інший — людину, яка вірить чуткам, а третій — експерта, який наводить факти.
Exemples des rumeurs à jouer:
— L'eau du robinet est dangereuse à boire.
— Les chats peuvent transmettre une nouvelle maladie.
— Le chocolat guérit la grippe.
/Приклади чуток для відтворення:
Le journaliste pose des questions, la personne convaincue défend son point de vue, et l'expert donne des explications rationnelles.
— Воду з-під крана пити небезпечно.
— Коти можуть передавати нову хворобу.
— Шоколад лікує грип.
— Avez-vous déjà cru à une fake news? Que s'est-il passé?
— Les fake news sont-elles dangereuses?
— Comment peut-on apprendre à mieux s'informer?
/Журналіст ставить запитання, переконана людина захищає свою точку зору, а експерт дає раціональні пояснення.
— Ви коли-небудь вірили у фейкові новини? Що сталося?
— Чи небезпечні фейкові новини?
— Як ми можемо навчитися бути краще поінформованими?
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire